________________
|
Ainda me acolho, Pai…
|
Souvent, Père je me réfugie...
|
Ainda me acolho, Pai,
à tua madressilva. Ali tens a passiflora, não envelheceu. O cedro grande, maior ainda. O forno, dedadas expungidas pelas portas. A buganvília, não esqueço, é preciso cortá-la. A Mãe não está nem volta. |
Souvent, Père je me réfugie
auprès de ton chèvrefeuille. Il y aussi la passiflore, elle est là, elle n'a pas vieilli. Le grand cèdre, toujours plus grand. Le four, les marques des doigts effacés sur les portes. Je n'oublie pas le bougainvillier, il a besoin qu'on le taille. Et notre Mère qui n'est plus là. |
________________
|
![]() |
Jean Pierre Houel Le cèdre du Liban au Jardin des plantes (1800 env.) |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire