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De novo, o duelo...
Vou acabar de depor...
Rosto de uma condenada
A terra perscruta o vento...
Chega sempre essa idade...
Eles partiram, sem saudade...
Alguns homens sentem-se por vezes...
Le Moi Haïssable
Antecipação
Março é o carteiro da cor...
O verso do verso: Os versos nos versos
Regras
Árvores
A conta
Paguei já demasiado...
Há muito tempo...
A verdade é que estou confuso...
Andamos ainda com as máscaras...
Em frente, fica...
Stabat filius
Poèmes inédits - Page 2
Justificação
É muito útil...
A distância ignora o céu...
A morte em si não é terrível...
Estar longe, muito longe...
Sou, às vezes, a última hora...
Do cromossoma cedo o poema...
Se é possível percorrer um sonho...
Vilnius no fim do Verão
Viagem
Quem és, ó tu...
Pelo poema ressoa...
Aprenderei primeiro os meus passos...
Em xistosa voz sem pranto...
Tu e eu...
Temos apenas os sonhos...
Assim vivo...
Não entendes esta tristeza...
Da sordidez
Uma janela friamente aberta...
Poèmes inédits - Page 3
Existencialismo
Por cada minuto, agradecer-te...
Apenas isto
Era um jovem caule da política...
Devagar
Contrição
Há momentos que...
Sofro esta turbulência cega...
Sobretudo não esquecer...
Encruzilhadas
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De nouveau, le duel...
Je vais finir par déposer...
Visage d'une condamnée
La terre ausculte le vent...
Arrive toujours cet âge...
Ils sont partis, sans regrets...
Certains hommes se sentent parfois...
Le Moi Haïssable
Anticipation
Mars est le coursier de la couleur...
Le vers du vers. Les vers dans les vers
Règles
Arbres
Le compte
J'ai déjà trop payé...
Il y a longtemps...
La vérité est que je suis confus...
Nous marchions encore avec les masques...
Il y a en face...
Stabat filius
Justification
Il est très utile...
La distance ignore le ciel...
La mort en soi n'est pas si terrible...
Être loin, très loin...
Je suis parfois la dernière heure...
Du chromosome bientôt le poème...
S'il est possible de parcourir ses rêves...
Vilnius à la fin de l'été
Voyage
Qui es-tu, ô toi...
Par le poème résonne...
J'apprendrai d'abord de mes pas...
D'une voix qui se clive sans larmes...
Ça – toi et moi...
Nous n'avons que les rêves...
Ainsi je vis...
Tu ne comprends pas cette tristesse...
Du sordide
Une fenêtre sur le froid ouverte...
Existentialisme
Pour chaque minute, je te remercie...
Seulement ceci...
C’était un jeune loup de la politique...
Avec lenteur
Contrition
Il y a dans la solitude...
Je souffre de cette turbulence aveugle...
Surtout ne pas oublier...
Croisements
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