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Como dói o ignorado humano...
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Comme elle fait mal l’ignorance...
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Como dói o ignorado humano.
Vou, então, procurar
Algo semelhante a ternura:
O vapor de um chá,
A lembrança de um papel antigo no bolso,
O que resta de vento lá fora.
Um mar sem praias ou précédents,
Viagem pura, amor sem margem,
Corrente que mergulha na água esgotada.
Vou, então, procurar
Algo semelhante a ternura:
O vapor de um chá,
A lembrança de um papel antigo no bolso,
O que resta de vento lá fora.
Um mar sem praias ou précédents,
Viagem pura, amor sem margem,
Corrente que mergulha na água esgotada.
Comme elle fait mal l’ignorance humaine.
Je vais donc chercher
Une chose semblable à la tendresse :
Les vapeurs d’un thé,
Le souvenir d’un vieux papier dans ma poche,
Ce qu'il reste du vent là dehors.
Une mer sans plages ni prédécesseurs,
Un pur voyage, un amour sans limite,
Un courant qui plonge dans l’eau épuisée.
Je vais donc chercher
Une chose semblable à la tendresse :
Les vapeurs d’un thé,
Le souvenir d’un vieux papier dans ma poche,
Ce qu'il reste du vent là dehors.
Une mer sans plages ni prédécesseurs,
Un pur voyage, un amour sans limite,
Un courant qui plonge dans l’eau épuisée.
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Oswaldo Guayasamín Méditation (1970) |
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