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Quem ama inventa...
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Celui qui aime invente...
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Quem ama inventa as coisas a que ama…
Talvez chegaste quando eu te sonhava.
Então de súbito acendeu-se a chama!
Era a brasa dormida que acordava…
E era um revôo sobre a ruinaria,
No ar atônito bimbalhavam sinos,
Tangidos por uns anjos peregrinos
Cujo dom é fazer ressureições…
Um ritmo divino? Oh! simplesmente
O palpitar de nossos corações
Batendo juntos e festivamente,
Ou sozinhos, num ritmo tristonho…
Ó! Meu pobre, meu grande amor distante,
Nem sabes tu o bem que faz à gente
Haver sonhado… e ter vivido o sonho!
Talvez chegaste quando eu te sonhava.
Então de súbito acendeu-se a chama!
Era a brasa dormida que acordava…
E era um revôo sobre a ruinaria,
No ar atônito bimbalhavam sinos,
Tangidos por uns anjos peregrinos
Cujo dom é fazer ressureições…
Um ritmo divino? Oh! simplesmente
O palpitar de nossos corações
Batendo juntos e festivamente,
Ou sozinhos, num ritmo tristonho…
Ó! Meu pobre, meu grande amor distante,
Nem sabes tu o bem que faz à gente
Haver sonhado… e ter vivido o sonho!
Celui qui aime invente les choses qu'il aime ...
Peut-être es-tu venue lorsque j'ai rêvé de toi.
Puis soudain s'est allumée la flamme !
Ce fut la braise endormie qui s'éveilla ...
Ce fut un nouvel envol au-dessus des ruines,
Dans l'air étonné les cloches tintèrent,
touchées par l'un des anges pérégrins
Qui ont le don de faire des résurrections ...
Un rythme divin ? Oh ! simplement
La palpitation de nos cœurs
Qui battent ensemble, unis dans la fête,
Ou seuls, à un rythme un peu triste...
Ô ! Mon pauvre, mon grand amour si lointain,
Ne sais-tu pas quel bien cela fait aux gens
D'avoir rêvé… et d'avoir vécu leur rêve !
Peut-être es-tu venue lorsque j'ai rêvé de toi.
Puis soudain s'est allumée la flamme !
Ce fut la braise endormie qui s'éveilla ...
Ce fut un nouvel envol au-dessus des ruines,
Dans l'air étonné les cloches tintèrent,
touchées par l'un des anges pérégrins
Qui ont le don de faire des résurrections ...
Un rythme divin ? Oh ! simplement
La palpitation de nos cœurs
Qui battent ensemble, unis dans la fête,
Ou seuls, à un rythme un peu triste...
Ô ! Mon pauvre, mon grand amour si lointain,
Ne sais-tu pas quel bien cela fait aux gens
D'avoir rêvé… et d'avoir vécu leur rêve !
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Élise Dartmour Harmas (2017) |
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