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Recueil : Autre traduction : |
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Fragilidade
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Fragilité
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Este verso, apenas um arabesco
em torno do elemento essencial – inatingível.
Fogem nuvens de verão, passam aves, navios, ondas,
e teu rosto é quase um espelho onde brinca o incerto
movimento,
ai! já brincou, e tudo se fez imóvel, quantidades
e quantidades
de sono se depositam sobre a terra esfacelada.
Não mais o desejo de explicar, e múltiplas palavras em
feixe
subindo, e o espírito que escolhe, o olho que visita,
a música
feita de depurações e depurações, a delicada modelagem
de um cristal de mil suspiros límpidos e frígidos: não mais
que um arabesco, apenas um arabesco
abraça as coisas, sem reduzi-las.
em torno do elemento essencial – inatingível.
Fogem nuvens de verão, passam aves, navios, ondas,
e teu rosto é quase um espelho onde brinca o incerto
movimento,
ai! já brincou, e tudo se fez imóvel, quantidades
e quantidades
de sono se depositam sobre a terra esfacelada.
Não mais o desejo de explicar, e múltiplas palavras em
feixe
subindo, e o espírito que escolhe, o olho que visita,
a música
feita de depurações e depurações, a delicada modelagem
de um cristal de mil suspiros límpidos e frígidos: não mais
que um arabesco, apenas um arabesco
abraça as coisas, sem reduzi-las.
Ce vers, il est à peine une arabesque
autour de l'élément essentiel – inaccessible.
Fuient les nuages d'été, passent les oiseaux, ondes, navires,
et ton visage est presque un miroir où joue l'incertain
mouvement,
Là ! déjà il joue, et tout s'immobilise, des quantités
et quantités
de sommeil se déposent sur la terre défaite.
Non plus le désir d'expliquer, et de multiples paroles
en faisceau
ascendant, et l'esprit qui choisit, l'œil qui visite,
la musique
faite de purifications et de purifications, le délicat modelé
d'un cristal aux mille soupirs frais et limpides : mais rien
qu'une arabesque, une simple arabesque
embrassant les choses, sans les réduire.
autour de l'élément essentiel – inaccessible.
Fuient les nuages d'été, passent les oiseaux, ondes, navires,
et ton visage est presque un miroir où joue l'incertain
mouvement,
Là ! déjà il joue, et tout s'immobilise, des quantités
et quantités
de sommeil se déposent sur la terre défaite.
Non plus le désir d'expliquer, et de multiples paroles
en faisceau
ascendant, et l'esprit qui choisit, l'œil qui visite,
la musique
faite de purifications et de purifications, le délicat modelé
d'un cristal aux mille soupirs frais et limpides : mais rien
qu'une arabesque, une simple arabesque
embrassant les choses, sans les réduire.
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Amadeo de Souza Cardoso Parto da viola Bom Ménage (1916) |
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