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Gorbatchov
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Gorbachev
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A fonte do sol desvelou-se
A foice dos olhos finalmente colheu
Todo o mistério e cegou todo o medo.
Sim, o teu nome é o nome da transparência,
O teu nome é o nome da terra reunificada,
O teu nome é o nome da queda,
Da separação gerada pelo silêncio.
O teu nome é uma página
Onde as pombas finalmente nidificam,
O teu nome é o fruto da oliveira.
O teu nome não cabe no espaço imenso do Leste.
E, por isso, te golpearam
E te fragmentaram.
O teu nome morre rapidamente.
Eu, impotente e pávido, vejo a tua morte.
Choro-te e as minhas lágrimas
Destroem estas palavras inúteis.
A foice dos olhos finalmente colheu
Todo o mistério e cegou todo o medo.
Sim, o teu nome é o nome da transparência,
O teu nome é o nome da terra reunificada,
O teu nome é o nome da queda,
Da separação gerada pelo silêncio.
O teu nome é uma página
Onde as pombas finalmente nidificam,
O teu nome é o fruto da oliveira.
O teu nome não cabe no espaço imenso do Leste.
E, por isso, te golpearam
E te fragmentaram.
O teu nome morre rapidamente.
Eu, impotente e pávido, vejo a tua morte.
Choro-te e as minhas lágrimas
Destroem estas palavras inúteis.
La source du soleil s'est révélée
La faux des yeux a finalement récolté
Tout le mystère et aveuglé toute peur.
Oui, ton nom est le nom de la transparence,
Ton nom est le nom de la terre réunifiée,
Ton nom est le nom de la chute,
De la séparation générée par le silence.
Ton nom est une page
Où les colombes font finalement leur nid,
Ton nom est le fruit de l'olivier.
Ton nom n'appartient pas à l'espace immense de l'Est.
Et par conséquent, ils t'ont frappé
Et t'ont fragmenté.
Ton nom meurt rapidement.
Moi, impuissant et sans défense, je vois ta mort.
Je te pleure et mes larmes
Détruisent ces paroles inutiles.
La faux des yeux a finalement récolté
Tout le mystère et aveuglé toute peur.
Oui, ton nom est le nom de la transparence,
Ton nom est le nom de la terre réunifiée,
Ton nom est le nom de la chute,
De la séparation générée par le silence.
Ton nom est une page
Où les colombes font finalement leur nid,
Ton nom est le fruit de l'olivier.
Ton nom n'appartient pas à l'espace immense de l'Est.
Et par conséquent, ils t'ont frappé
Et t'ont fragmenté.
Ton nom meurt rapidement.
Moi, impuissant et sans défense, je vois ta mort.
Je te pleure et mes larmes
Détruisent ces paroles inutiles.
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Georges Braque Deux oiseaux sur fond bleu (1959) |
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