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Bato-te à porta...
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Je frappais à ta porte...
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Bato-te à porta.
Prometeste que abririas.
A cidade segue as linhas
Melódicas da chuva.
Há sempre alguém que caminha
Lá fora, nos bastidores da noite,
Algum carro que passa,
Vozes, um cão, a pauta
De uma cidade que dorme
E nunca dorme,
Onde às vezes se ama tanto
Que se pode mijar sangue
E onde há sempre alguém
Que bate à porta
E sempre alguém que ouve
E nunca abre.
Prometeste que abririas.
A cidade segue as linhas
Melódicas da chuva.
Há sempre alguém que caminha
Lá fora, nos bastidores da noite,
Algum carro que passa,
Vozes, um cão, a pauta
De uma cidade que dorme
E nunca dorme,
Onde às vezes se ama tanto
Que se pode mijar sangue
E onde há sempre alguém
Que bate à porta
E sempre alguém que ouve
E nunca abre.
e frappais à ta porte.
Tu avais promis d’ouvrir.
La ville suivait les lignes
mélodiques de la pluie.
Il y a toujours quelqu’un qui marche
Là dehors, dans les coulisses de la nuit,
Une voiture qui passe,
Une voix, un chien, la partition
D’une ville qui dort
Et ne dort jamais,
Où parfois on aime tellement
Que l’on peut pisser du sang
Et là où il y a toujours quelqu’un
Qui frappe à la porte
Et toujours quelqu’un qui écoute
Et n’ouvre jamais.
Tu avais promis d’ouvrir.
La ville suivait les lignes
mélodiques de la pluie.
Il y a toujours quelqu’un qui marche
Là dehors, dans les coulisses de la nuit,
Une voiture qui passe,
Une voix, un chien, la partition
D’une ville qui dort
Et ne dort jamais,
Où parfois on aime tellement
Que l’on peut pisser du sang
Et là où il y a toujours quelqu’un
Qui frappe à la porte
Et toujours quelqu’un qui écoute
Et n’ouvre jamais.
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Dirk Schulte La fenêtre rouge (2022) |
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