Nom :
Recueil : Fonte : Autre traduction : |
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Quando vais a subir...
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Lorsque tu remontes...
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Quando vais a subir a larga avenida
Já a noite a vem descendo,
Longa, tépida, lenta.
A amada espera-te,
Virá de castanho, talvez de verde,
Poderá trazer um lenço negro ao pescoço.
E depois, entre o arvoredo do jardim,
Só os dedos vêem, só o hálito
E os lábios reconhecem.
As mãos da minha amada na face –
Preia-mar, olvido.
Já a noite a vem descendo,
Longa, tépida, lenta.
A amada espera-te,
Virá de castanho, talvez de verde,
Poderá trazer um lenço negro ao pescoço.
E depois, entre o arvoredo do jardim,
Só os dedos vêem, só o hálito
E os lábios reconhecem.
As mãos da minha amada na face –
Preia-mar, olvido.
Lorsque tu remontes la grande avenue
La nuit déjà est tombée,
Longue, tiède, lente.
Ton amour attend,
Elle viendra en marron, peut-être en vert,
Elle aura peut-être un foulard noir autour du cou.
Et puis, entre les arbres du jardin,
Les doigts seuls voient, le souffle seul
Et les lèvres qui reconnaissent.
Les mains de mon amour sur ma joue –
Mer pleine, oubli.
La nuit déjà est tombée,
Longue, tiède, lente.
Ton amour attend,
Elle viendra en marron, peut-être en vert,
Elle aura peut-être un foulard noir autour du cou.
Et puis, entre les arbres du jardin,
Les doigts seuls voient, le souffle seul
Et les lèvres qui reconnaissent.
Les mains de mon amour sur ma joue –
Mer pleine, oubli.
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Ron Hicks L'étreinte (1965) |
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